°:. Le passé n'est rien, vivons le présent à fond! .:°

Misaho avait décidée aujourd’hui d’aller se balader, il lui devait impérativement s’occuper pour ne pas se mettre à s’ennuyer chez elle. Surtout qu’en se moment, elle ne faisait rien de ces journées à part dormir, manger, faire du sport, etc. Les trucs banale qui finissait vite par ennuyer la personne. Et puis, si elle ne se concentrait pas sur quelque chose de bien précis, ces souvenirs revenaient assez rapidement, alors qu’elle tentait depuis tant d’année de tout oublié. La jeune femme désirait plus que tout effacer ces souvenirs ou elle s’était fait trahir par sa propre famille et ces sois disant amis. Ce jour ou elle devait fêter son 13ême anniversaire et qui s’était finit en un vrai carnage. Elle s’en rappelait comme si c’était hier, elle qui croyait passer une bonne journée, finit de toute façon par être déçu et remplit de haine envers « eux ».

La shinobi avait décidée donc d’aller se balader un peu dans les montagnes. Ces endroits étaient pour elle assez reposant, et elle avait l’occasion de faire un peu ce qu’elle voulait dans ces cas la. Sa lui permettait également de méditer un peu, faire le point sur ça vie présente. Même si parfois ces jugements étaient de graves erreurs, la demoiselle n’abandonnait jamais. Elle tenait trop à ces idéaux pour se mettre à tout lâcher d’un coup. Tout en marchant vers les montagnes, la demoiselle avait l’air ailleurs, ressassant son passé… Un dur passé à peu près.

Misaho était née dans un petit village inconnu jusqu’à maintenant, avec ces parents elle avait l’air heureuse au début. S’amusant, souriant toujours, trouvant toujours le moyen de se faire remarqué par tout le monde, pour faire rire. Malgré ce moment de bonheur, ce n’était qu’à l’âge de 13 ans que son « cauchemar » commença réellement. Elle se rappela parfaitement de ce jour. C’était son anniversaire, et ses parents lui avait dit qu’elle aurait une surprise à son retour de l’école. Tout excitée, la jeune fille c’était empressé de rentrer chez elle pour voir de quoi il s’agissait réellement. Mais à sa plus grande surprise ce n’était pas ce qu’elle pensait. Ces parents avaient caché l’existence d’une capacité spécial, étrangère depuis tout ce temps. Cela consistait à « scellé » le Dieu démon, Guren, dans le corps de la demoiselle, afin d’utilisé ces capacités.

Mais Misaho ne le désirait vraiment pas, mais elle y fut forcé, alors qu’ils l’assoma, elle se retrouva couché sur une sorte de table de cérémonie, elle avait peur, normal à 13 ans. La jeune fille n’avait cessé de demander à ces parents pourquoi ils faisaient cela, mais jamais elle ne reçu de réponse de leur part, eux qui préférait plutôt « scellé » cette étrange dans son petit corps fragile jusqu’à maintenant. Misaho se rappela de la douleur qu’elle avait endurée, une douleur qu’elle comparait comme à une brûlure interne immense. A ce moment la, quand elle ressentie cela, elle savait que Guren avait été scellé. Plusieurs « sceaux » avait été placé sur son corps. Un sur le haut de la poitrine, sur son bras, et un autre invisible sur son ventre. Elle s’évanouit après cela, et ses parents espéraient qu’elle allait survivre à cette douleur.

Part chance, la demoiselle survécue, mais a son réveille, elle fut dans une colère noir, et sans trop comprendre, elle déclancha les capacité de Guren et se mit à tuée tout le monde présent dans la pièce. Elle s’enfuit, mais fut très épuisée après cela. Ce n’était qu’un simple homme qui la recueillit et l’emmena avec lui, à Kiri. Elle ne parla pas au début, pendant même, 4 mois entier. Il croyait qu’elle ne savait pas parler d’ailleurs. Mais la demoiselle dit ces premiers mots au bout de ces quatre mois et demi. Misaho vécue avec cette homme jusqu’à ces 16 ans, ensuite il mourut d’un cancer, cachant ces sentiments à tout le monde, ils croyaient qu’elle s’en fichait carrément alors que c’était totalement faux. Misaho était blessée, elle avait cette douleur au cœur qui ne cicatrisait pas.

La shinobi avait dorénavant 20 ans, et elle était le genre de personne à ne pas se laisser faire, même plutôt infernal avec son sale caractère. Mais pourtant, elle avait un cœur des plus tendre, même si elle le cachait parfaitement bien. Beaucoup la comparait à un animal indomptable, et ils avaient pas tord d’un côté, surtout si on réfléchissait à ces capacités. Misaho était dorénavant au plus haut de la montagne, et elle soupira en regardant le paysage. Depuis le jour de ces 13 ans, la demoiselle avait découvert la capacité de pouvoir communiquer, par la penser, avec l’être qui vivait dans son corps depuis toute ces années. Malgré qu’elle le détestait un peu, pour avoir fait de son corps, sont hôte, elle c’était prit d’affection pour lui, Guren avait peut être l’air ‘un monstre horrible aux yeux des autres, il avait toujours tendance s’inquiè pour la demoiselle.

Guren: * Misa-chan… A quoi penses-tu encore? *

* Je ne vois pas la nécessité de poser cette question, Guren…*

Guren: * Tu as raison. Je sais très bien à quoi tu penses. Le jour ou j’suis apparut dans t’as vie… Je suis tellement désolé…*

*URUSEI! Ce qui est fait, est fait Guren! *

Guren, l’entité qui vivait dans son corps, ne dit plus rien, mais Misaho savait très bien qu’il s’en voulait terriblement, surtout après ce qu’elle avait fait par la suite. Elle les avait tous tué sans même se posé de question, dans un moment de colère. C’était à ce demander, si lorsqu’elle se mettait encore dans cette colère noir, si elle ferait pareil, une nouvelle fois…

Sa faisait un bon moment que Misaho scrutait l’horizon un peu ailleurs. A se remémorée son passé, la demoiselle commençait doucement à s’énervée. Rien que de penser à tout cela, ça haine refaisait surface petit à petit. Malgré cela, elle se devait de se calmé assez rapidement. Ce n’était ni le lieu, ni le moment de se mettre en colère ainsi. La shinobi entendit une voix non loin d’elle, une voix familière, elle avait déjà eu l’impression de l’avoir entendu quelque part. Elle se retourna doucement, et remarqua rapidement que c’était le Kage de son village. La demoiselle se força à sourire, comme à son habitude en fait.

« Ohayo Mizuru-sama. Je vais bien, merci. Et vous? Ho mais ne vous inquiétez pas pour moi, ce n’est rien de bien important. »

Misaho réfléchit aux paroles de Mizuru, il n’avait pas tord en fait, mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Elle ne savait pas s’empêcher de repenser à son passé, ayant l’impression qu’elle avait faites de nombreuses erreurs jusqu’à aujourd’hui. Malgré cela, elle se plaisait énormément à Kiri, mais elle ne savait pas pour quel raison, elle voulait un peu plus que la vie qu’elle menait aujourd’hui, comme par exemple un peu plus d’action, sans pour autant que la ville ne soit assiégé a chaque fois non plus. Ou alors, un peu plus d’aventure, elle aimerait bien se mettre à voyagé un peu partout.

La jeune femme se tourna vers Mizuru, se Kage qui était si gentil, du moins elle y croyait dur comme fer, mais elle ne savait absolument rien de lui. Peut être que c’était mieux ainsi. Et puis personne ne savait grand-chose sur Misaho également, alors à quoi bon essayer d’en savoir plus sur les autres? La demoiselle souria doucement, avant de s’étirer et d’aller vers son Kage, avant de lui sauter sur les épaules.

«  Vous auriez peut être du l’écouter non? Sa fait quoi d’avoir un maître? J’en ai jamais eu. Oh on m’a bien apprit des choses, mais avoir un maître rien que pour soi c’est plus cool non? »


La shinobi regarda son Kage doucement, bon c’était peut être la meilleur chose à faire que de lui sauté sur les épaules. Mais au fond, le Kage elle l’appréciait même si elle disait rien. Et puis c’était pas son genre de montrer ce qu’elle ressentait pour les gens. La jeune femme leva doucement la tête vers le ciel. L’air un peu pensive. Mais Guren, la réveilla inconsciemment

Guren: * Misa-chan! Arrête de penser! T’es en présence de ton Kage!*

Il avait pas tord d’ailleurs. La jeune femme lâcha son Kage et se mit droit comme un I, tel un bon petit soldat. Elle avait un moment de… comment on dit déjà? De faiblesse? Oui, si on peut dire ça comme sa. Heureusement que sa lui arrivait pas souvent ces choses la, sinon, elle serait dans l’obligation de se remettre en question assez rapidement.

HRP: Désolée c'est court x_x J'ferais mieux au prochain post :s